Beaucoup de dirigeants de PME découvrent tardivement certains dérapages financiers, opérationnels ou commerciaux, faute d’informations claires ou en temps utile. Face à l’accélération digitale, structurer un reporting fiable et digitalisé n’est plus un luxe, mais une nécessité pour piloter, anticiper et créer de la valeur. Pourquoi ? Car sans culture du pilotage outillé :
Rassembler des chiffres sur Excel reste la norme… mais n’offre aucune traçabilité ni consolidation fiable. Un outil de pilotage digitalisé doit garantir :
Un écueil classique : imposer des outils de reporting sans former, ni embarquer vraiment les équipes. Un workflow efficace nécessite :
La tentation de tout digitaliser d’un coup est grande, portée par les promesses des logiciels du marché. Mais sans alignement sur l’organisation, le reporting devient une usine à gaz. Les signaux faibles à surveiller : multiplication de tableaux, indicateurs qui se contredisent, responsables sans rôle défini, reporting forçat pour les équipes.
Mais adopter un reporting digitalisé n’est pas une fin en soi. Cela doit être au service d’une organisation apprenante, capable de faire évoluer ses indicateurs, de challenger ses données et d’en tirer de vrais leviers d’action pour piloter la croissance et la rentabilité.
Mettre en place un reporting digitalisé accessible, fiable et actionnable dans une PME n’est pas qu’une question d’outils. C’est structurer l’information, responsabiliser les équipes et ancrer une culture du pilotage collectif au service de la performance. Prendre ce virage, c’est transformer le rapport aux chiffres : passer d’une pratique subie à un pilotage proactif, apte à sécuriser votre trajectoire de croissance et préparer, si besoin, la cession ou l’ouverture du capital. Pour aller plus loin, posez-vous la question : vos process de reporting vous donnent-ils vraiment de l’avance ? Si le doute s’installe, il est temps de les challenger : les outils existent, l’essentiel reste de structurer leur usage.
François Joseph Viallon est cofondateur de Scale2Sell, où il accompagne des dirigeants dans leur passage à un nouveau palier de croissance jusqu’à la cession de leur entreprise.
Entrepreneur dans l’âme, il a fondé et dirigé StarDust, une société internationale spécialisée dans le test d’applications mobiles, qu’il a menée jusqu’à sa cession.Fort de cette expérience, il partage aujourd’hui les enseignements – succès comme erreurs – de son parcours pour aider d’autres dirigeants à structurer, valoriser et transmettre leur entreprise dans les meilleures conditions.
Il est également l'animateur du podcast Les interviews Scale2Sell et du programme d’accompagnement One Step Forward, pensé pour les dirigeants qui veulent anticiper et réussir leur transition.
François croit profondément à l’impact d’un collectif d’experts engagés, au service de dirigeants prêts à franchir une nouvelle étape.
François est papa de 2 garçons de 11 et 12 ans, il est basé à Marseille et en Haute-Savoie.
Sandrine Montel est Partner Finance chez Scale2Sell. Elle accompagne les dirigeants dans la structuration de leur pilotage financier, la maîtrise de leur rentabilité et la préparation aux grandes étapes de transformation : accélération de la croissance, levée de fonds ou cession.
Avec plus de 20 ans d’expérience en direction financière dans des PME et ETI, Sandrine combine une approche stratégique, une capacité d’analyse pointue et une forte orientation terrain. Elle a accompagné de nombreuses entreprises dans la mise en place d’outils de gestion performants, le dialogue avec les investisseurs, ou encore la sécurisation de leur trésorerie dans des phases critiques.
Chez Scale2Sell, elle agit comme un véritable bras droit financier des dirigeants, en les aidant à prendre des décisions éclairées, fiables et tournées vers la création de valeur.
Sandrine croit profondément que la rigueur financière n’est pas une contrainte, mais un moteur de sérénité et d’impact pour les dirigeants.
Elle vit entre Lyon et Bordeaux, et partage son énergie entre ses missions de conseil, l’accompagnement de jeunes talents de la finance… et son potager bio, qu’elle cultive avec autant de méthode que ses plans de trésorerie.