Dès qu’on parle de “modélisation des processus”, beaucoup de dirigeants lèvent les yeux au ciel.
Trop de souvenirs de schémas complexes, de consultants en costard et de fichiers jamais relus.
Et pourtant…
Bien modélisé, un processus :
La clé, c’est de le faire simplement, utilement, et sans devenir bureaucrate.
Voici comment.
Avant de penser “BPMN”, “SOP”, “modèle de gouvernance”…
Posez une question simple :
"Comment est-ce que les choses se passent vraiment, aujourd’hui ?"
Partez du terrain. Pas d’un modèle théorique.
Un bon processus modélisé ne part pas d’un idéal. Il part de la réalité vécue par vos équipes.
Même si c’est imparfait. Même si ce n’est pas linéaire.
C’est cette réalité-là qu’un acquéreur aura à gérer.
Si votre schéma de processus nécessite une formation pour être lu… il ne sera jamais utilisé.
Les meilleurs formats sont :
L’objectif n’est pas de documenter pour cocher une case.
C’est de rendre le fonctionnement lisible, partageable, réplicable.
Vous devez pouvoir envoyer ce process à un nouvel arrivant… et qu’il comprenne sans appel téléphonique.
Ne cherchez pas à tout formaliser.
Choisissez ce qui est :
Moins vous modélisez, plus ça doit être utile.
L’ambition n’est pas l’exhaustivité, c’est la valeur d’usage.
C’est un piège classique : un dirigeant ou un manager modélise dans son coin, puis impose le résultat.
Résultat :
Associer les bons collaborateurs :
Un processus n’est pas un document figé.
C’est un outil vivant qui évolue avec l’entreprise.
Inutile de chercher la perfection dès le départ.
Lancez une première version, testez-la, corrigez-la.
Ajoutez des points d’amélioration tous les trimestres.
C’est cette dynamique — plus que la forme — qui montre à un acquéreur que l’entreprise est pilotée par des logiques claires.
Vous n’avez pas besoin de consultants pour commencer.
Vous avez besoin :
Chez Scale2Sell, on voit la différence entre les entreprises qui “parlent organisation” et celles qui la rendent visible.
Et cette différence se voit très tôt… pour un acquéreur.