Une DNVB (ou une activité e-commerce bien développée) peut séduire rapidement :
trafic en croissance, notoriété digitale, communauté active, produits identifiés.
Mais au moment de la vente, ce qui attire l’acquéreur n’est pas toujours ce qui le rassure.
Chez Scale2Sell, on le constate souvent : les marques les plus dynamiques peuvent aussi être les plus fragiles si trop d’éléments clés reposent sur le fondateur.
Voici les leviers de structuration à travailler avant la cession — pour transformer une marque portée en un actif vendable.
Le premier point que regarde un acquéreur :
“Comment cette marque génère-t-elle des ventes, et à quel coût ?”
Ce qu’il veut voir :
Ce qu’il ne veut pas :
une acquisition gérée “à l’instinct” par le fondateur ou une agence irremplaçable.
Formaliser la stratégie d’acquisition, c’est créer un process duplicable. Et donc vendable.
Beaucoup de DNVB ont externalisé leur logistique.
C’est bien — sauf si personne ne sait expliquer :
Un process logistique bien décrit montre que :
Un bon service client, c’est un levier de rétention.
Un mauvais, c’est un risque d’image.
Un acquéreur veut s’assurer que :
Un process SAV simple et clair, même géré en interne, vaut plus qu’un système externalisé opaque.
Vous avez peut-être une forte présence sur Instagram, TikTok, LinkedIn…
Mais si tout repose sur votre personne, votre ton, vos idées — ça ne tient pas sans vous.
Ce qu’un acquéreur cherche à savoir :
Structurer la production de contenu (même artisanale) est une manière de montrer que la marque existe au-delà de son fondateur.
Beaucoup de DNVB sont “pilotées par Shopify + Google Analytics + instinct”.
Mais un acquéreur, lui, veut :
Mettre en place un process de pilotage mensuel (simple mais régulier) est une preuve de maturité.
Ce que vous vendez, ce n’est pas seulement une notoriété ou un design.
C’est un modèle économique structuré, transmissible, lisible.
Chez Scale2Sell, on vous aide à poser les briques essentielles pour que votre marque donne envie — mais aussi confiance.
Pas seulement parce qu’elle est belle.
Parce qu’elle est prête à changer de mains.