« On verra quand ce sera le bon moment. »
C’est souvent ce que disent les dirigeants quand on parle de cession.
Sous-entendu : quand le chiffre d’affaires aura encore un peu monté, quand les équipes seront plus stables, quand le marché sera porteur.
Mais voilà :
le bon moment, objectivement, n’existe pas.
Le marché sera toujours un peu incertain.
Il y aura toujours un projet en cours, un recrutement stratégique à finaliser, une courbe à améliorer.
Et c’est pour ça qu’il faut poser une autre question :
êtes-vous prêt, vous ?
Beaucoup de dirigeants attendent que tout aille bien pour vendre.
Mais dans les faits, les meilleures ventes ont souvent lieu quand le dirigeant est prêt à lâcher, pas quand l’entreprise atteint un sommet.
Car vendre, ce n’est pas simplement céder un actif.
C’est :
Ce n’est pas une opération technique. C’est une transition de posture.
Ce discours est très courant.
Mais il masque parfois :
Et c’est là que le danger guette :
repousser la vente encore et encore… jusqu’à ce qu’elle devienne subie.
(épuisement, urgence personnelle, retournement de marché…)
Attendre n’est pas toujours stratégique. Parfois, c’est une fuite bien emballée.
Vous êtes probablement prêt à vendre quand :
Ce moment-là ne dépend ni du marché, ni des chiffres, ni de vos conseillers.
Il dépend de votre posture.
Quand vous êtes prêt à vendre avant d’y être forcé, vous avez :
Vendre trop tard, c’est souvent vendre en déséquilibre.
Et une histoire, pour bien se terminer, a besoin d’un point final posé en conscience.
Chez Scale2Sell, on accompagne les dirigeants à retrouver de la clarté sur leur timing personnel, pas uniquement sur les indicateurs business.
Parce qu’au fond, la meilleure vente, c’est celle que vous avez envie de faire.
Pas celle que vous subissez. Ni celle qu’on vous pousse à faire “parce que c’est le moment”.
En résumé, le bon moment pour vendre, c’est quand vous êtes prêt à écrire autre chose.