Vous avez mis en place un comité de direction.
Les gens sont autour de la table. Il y a un ordre du jour. Un fichier de suivi.
Mais quelque chose cloche :
Chez Scale2Sell, on accompagne de nombreuses PME à structurer leur gouvernance.
Et on voit très vite si un CODIR est vivant, ou simplement décoratif.
Voici les 7 erreurs classiques qui minent un comité de direction… et comment les corriger.
“On commence par un petit tour de chacun, pour voir ce qui se passe…”
Et une heure plus tard, aucune décision n’a été prise.
🔧 À faire à la place :
Le CODIR, ce n’est pas le journal d’entreprise. C’est le cockpit.
Si les chiffres sont découverts en séance, si les décisions à prendre ne sont pas listées, si personne n’a réfléchi aux sujets clés :
le CODIR devient une improvisation collective.
🔧 À faire à la place :
Un CODIR efficace se gagne avant qu’il commence.
Si vous parlez plus que les autres… vous décidez tout.
Et si vous décidez tout, vous redevenez le point de passage unique.
Autrement dit : votre comité ne sert à rien.
🔧 À faire à la place :
La maturité d’un CODIR se lit dans le silence du dirigeant.
Si on “en parle” mais qu’on ne tranche jamais, la réunion devient un théâtre.
Tout le monde voit que rien ne bouge. La dynamique meurt.
🔧 À faire à la place :
Une décision floue est une responsabilité reportée.
Parler 30 minutes du prochain fournisseur de mugs, puis 10 minutes d’un pivot commercial à 200K€…
C’est l’inverse d’un comité utile.
🔧 À faire à la place :
Un CODIR utile ne traite pas plus de sujets. Il traite les bons sujets.
Quand les vrais désaccords sont évités, mis sous le tapis, ou tranchés en tête-à-tête après coup…
le CODIR devient une façade.
🔧 À faire à la place :
Un bon CODIR ne cherche pas le consensus mou. Il cherche la clarté.
Si rien ne se passe entre deux réunions, le CODIR devient un temps mort.
🔧 À faire à la place :
Un comité vivant n’existe pas que le lundi matin à 9h.
Il crée une gouvernance continue.
Un comité structuré, c’est de la valeur en plus.
Chez Scale2Sell, on aide les dirigeants à faire de leur comité de direction un outil de pilotage, de délégation, de transmission.
Pas un rendez-vous obligé.
Parce que pour céder, lever ou simplement grandir, il faut que l’entreprise sache décider autrement que par le dirigeant.
Et ça commence… dans une salle, tous les mois, autour d’une table bien animée.