On entend souvent :
“Je vendrai quand on aura doublé.”
“Je veux d’abord lancer la nouvelle gamme.”
“On n’a pas encore atteint notre plein potentiel.”
Et pourtant, les meilleures ventes de DNVB ne se font pas au pic de croissance.
Elles se font quand le fondateur est prêt. Structurellement. Émotionnellement. Stratégiquement.
Chez Scale2Sell, on accompagne des entrepreneurs qui ont attendu… parfois trop longtemps.
Voici pourquoi le bon moment pour vendre n’a rien à voir avec les chiffres du mois dernier — et tout à voir avec votre capacité à vous retirer intelligemment.
Vous ne verrez jamais une courbe parfaitement ascendante, stable, rassurante.
Il y aura toujours :
Le mythe du moment idéal vous pousse à procrastiner une décision structurante — jusqu’au jour où la fatigue, les doutes ou une crise extérieure vous forcent la main.
Et là, vous vendez en urgence.
Pas en force.
Trois signaux doivent être alignés :
Si ces trois piliers tiennent, vous êtes prêt.
Même si tout n’est pas encore “optimisé”.
La revente ne doit pas être une fuite.
Ce n’est pas un “ras-le-bol”. Ce n’est pas “j’en peux plus”.
C’est un passage de relais préparé.
Quand on vend dans l’épuisement :
Quand on vend en étant prêt :
Et surtout, on garde de l’énergie pour la suite.
Pourquoi ?
Parce que structurer, modéliser, transmettre… prend du temps.
Et que si vous attendez d’être “prêt à partir”, vous serez déjà trop dedans pour faire le travail de fond sereinement.
Anticipez :
C’est ce travail-là qui crée la valeur. Pas les 6 derniers mois de croissance.
Chez Scale2Sell, on le répète souvent :
“Ce n’est pas votre performance qu’on valorise.
C’est votre capacité à ne plus être indispensable.”
Le bon moment pour vendre une DNVB, c’est le moment où vous pouvez partir sans que tout s’écroule.
Et ça, ça se construit bien avant la signature.