Dans une entreprise de 25 à 50 collaborateurs, on commence à parler de “CODIR”.
Mais trop souvent, ce comité est :
Chez Scale2Sell, on pense l’inverse :
Le comité de direction est un outil stratégique.
S’il est bien structuré, il libère le dirigeant.
S’il ne l’est pas, il renforce la dépendance au fondateur.
Voici comment mettre en place un vrai comité de direction dans une PME.
Et surtout, comment en faire un lieu de pilotage, pas un rituel vide.
Ce n’est pas une réunion de management.
Ce n’est pas une validation RH.
Un comité de direction, dans une PME, sert à :
C’est le cockpit de l’entreprise.
Pas la salle d’attente du dirigeant.
La bonne composition, ce n’est pas “tous les chefs de service”.
C’est les personnes qui ont un impact direct sur la stratégie, les arbitrages, les résultats.
Typiquement :
Pas plus de 6 à 7 personnes.
Sinon, on dilue les décisions et on augmente la mise en scène.
Le bon rythme pour une PME de 30-50 personnes :
→ toutes les 3 à 4 semaines. (ni trop fréquent, ni trop lointain)
Et les bons sujets :
À éviter :
Une trame simple mais solide :
Bonus : un secrétaire de séance (rotation possible) note les décisions, pas les discussions.
Un bon CODIR produit de la clarté. Pas du bavardage.
Un comité de direction bien structuré permet :
Et dans la perspective d’une cession ?
Un bon CODIR montre à l’acquéreur que l’entreprise sait se piloter sans son fondateur.
Chez Scale2Sell, on aide les dirigeants à structurer leur comité de direction pour en faire un outil de valeur, pas un outil de contrôle.
Parce que l’objectif n’est pas de tout décider en groupe.
L’objectif est de ne plus tout faire seul.
Et ce cap-là commence souvent… autour d’une table, toutes les 3 semaines.